«Parfois le soir, seul devant la glace, il avance ses lèvres pour dire le mot, il les rassemble comme pour une moue ou un demi-baiser, il tend la bouche vers l’avant et cale les incisives pour souffler la décisive consonne, mais là, le mot ne vient pas, il lui reste sur la langue comme un noyau de cerise, un chewing-gum qui refuserait de buller.» On n’imagine pas l’embarras de...
L’homme Qui Ne Savait Pas Dire Non
L