Abracadabrants, tarabiscotés, de mauvais goût, répugnants, infantiles, scatologiques, pornographiques, horribles, tordus, obsessionnels, pas drôles, morbides, sordides, sanglants, absurdes, atroces, pervers, pénibles… Le lecteur aura bien du mal à qualifier ces contes. Pourquoi ? Parce que ce ne sont pas des contes, mais des allégories. Marc-Edouard Nabe raconte l’inracontable. Le...
K.-o.
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