« Ah, George, quel amour ! jamais homme n’a aimé comme je t’aime. Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé, inondé d’amour , je ne sais plus si je vis, si je mange, si je marche, si je respire, si je parle , je sais que j’aime, je meurs d’amour, d’un amour sans fin, sans nom, insensé, désespéré, perdu, tu es aimée, adorée, idolâtrée jusqu’à mourir ! Et non...
« Ô Mon George, Ma Belle Maîtresse… »
«